tisse-tout architecture
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Le jardin tisse-tout
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tisse-tout Entreprise d'Utilité Publique pour le Vivant

• Tisse-tout rassemble une série d'activités ayant pour point commun de concevoir de fabriquer et de commercialiser des produits, des œuvres et des ouvrages, qui contribuent tous en priorité au développement du vivant mais aussi limitent l'impact préjudiciable des activités humaines sur la Vie, en favorisant un développement et un mode de vie plus respectueux de ce que nous sommes. • Albert Camus a écrit, " l'homme est le seul animal à ne pas avoir conscience de ce qu'il est". Changeons !, nous sommes des êtres vivants, respectons la Vie, cultivons-la, cultivons-nous. • Architecture symbiotique, sans empreinte au sol, à la fois durable et biodégradable, design partagé, design pour la Vie, design de la Vie, communication consciente du pouvoir de l'imaginaire, de ses vertus et de ses écueils comme la diabolisation et la bien-pensance, entre autre. Repenser l'industrie de la mode et la mettre en œuvre à travers la revalorisation des cycles courts et l'authentification des tracés jusqu'à l'origine des matières premières vivantes et de ceux qui les cultivent en harmonie avec le reste du vivant. Promouvoir des filières où chacun des partenaires est justement rétribué pour sa valeur ajoutée qu'elle soir matérielle ou immatérielle. Valoriser les approches contemporaines de l'agriculture, celle qui œuvrent pour renaturalisation des humains et leur liberté retrouvée. Liberté d'agir et de créer en partage avec la nature… Oeuvre à la beauté du monde, fabriquer les outils pour le cultiver, dans le partage. Vendre et promouvoir avec éthique, promouvoir un marketing, fait de pureté d'intention, d'intégrité et de détermination, repenser l'industrie et la faire revivre en harmonie dans des friches industrielles et commerciales réenchantées par la vie et la nature réimplantée… etc
• • • en savoir plus

tisse-tout

La symbolique du lien • Le tissage montre à la main et à l'oeil, au toucher et à l'intellect, la façon dont il faut se représenter la vie en société. Tisser, c'est unifier, entrelacer, lier ; le geste s'impose avec une telle évidence qu'il ne semble avoir besoin d'autre interprétation. "Certaines réalités ont leurs ressemblances naturelles, faciles à découvrir en des objets qui parlent aux sens" (Platon, rééd. 1970), c'est bien illustré par le geste de tisser, qui tout naturellement figure le sens, donne à voir ce qu'il signifie. Ainsi un des premiers sens pris par le tissage est-il d'"unir ensemble des réalités différentes" (Chevalier J, Gheerbrant A., 1982). Cette représentation du lien est à même de fabriquer du social. J. Scheid et J. Svenbro montrent comment le geste du tissage faisait partie intégrante de la mythologie gréco-romaine, et imprégnait les représentations du social (Scheid J., Svenbro J., 1994). Ils voient dans cette activité un modèle de cohésion sociale, un geste mythique apte à produire de l'harmonie. "Tisser, c'est entrelacer ce qui est différent, contraire, hostile, afin de produire une toile harmonieuse, unie." Aussi pouvons-nous dire en ce sens que le tissu est le symbole de cette structure de l'imaginaire synthétique qui est responsable de la coïncidence des contraires. Tisser l'harmonie, entrelacer les contraires pour créer du lien, fabriquer une étoffe sociale cohérente. De là, une autre signification, concilier les fils embrouillés par les hostilités. La Khlaîna imaginée par Lysistrata dans la comédie d'Aristophane est un plan politique destiné à tisser la réconciliation du peuple de l'empire athénien après une période de guerre. Le tissage est alors l'opération qui fabrique la paix, qui aide la cité à maîtriser ses contradictions et à affirmer son unité. A la guerre déclarée, le peuple athénien répond par la solution symbolique du tissage.
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en savoir plus

tisse-tout & Tistou

Une évocation à Tistou les pouces verts le roman de Maurice Druon, et un symbole de vie
• Faire des corrélations. Corréler. Nous sommes libres, nous sommes depuis l'aube, libres. Libres de penser, de faire des liens, cette toile est notre histoire, et notre vie, cette toile est unique, nous la transmettons à nos enfants, elle sera aussi une partie de l'histoire dont ils se draperont. Des liens entre ce que l'on croit, et ce que l'on sait, des liens entre ce que l'on vit, et ce que l'on apprend, des liens libres de tout dogme, ou les sciences côtoient le spirituel et le ressenti. Ici, derrière les yeux et entre les oreilles personne ne vous jugera… à part vous-même. Les plus grands voyages sont intérieurs, pas besoin de passeport pour ceux qui restent libres dans leur tête, nous dit Jacques Prévert. Cette toile est un roman, les acteurs notre entourage, et nos aïeux, qui ont eu la délicatesse, de nous raconter le meilleur de ce qu'ils ont pu être ou faire, pour que nous ayons comme dignité d'être à la hauteur de notre histoire, au delà de nous-même, et de nous inscrire par la même dans l'histoire du monde. Nous sommes libres et pourtant chaque être vivant influence l'autre, nous sommes tous reliés par un imaginaire qui n'est personne et qui est tout le monde, nous sommes pétris de lumière. Dès l'enfance, chaque mot, chaque regard nous construit, droit ou tordu, fiers ou honteux, nous sommes dès l'enfance forgé du miroir que les autres nous renvoie. Nous serons, ce que le monde nous aura renvoyé de nous-même, un simple sourire, au moment crucial, le mot qu'il faut ou ne faut pas, même un silence, le bon ou le mauvais. Le langage n'a pas été nécessaire au jeune singe mâle ou femelle, pour savoir s'il sera dominé ou dominant, l'imaginaire n'est pas né avec la représentation, et si l'image est ce qui nous lie à Dieu, il nous revient d'éclairer. cette complexité de ce que nous sommes, des êtres vivants qui composent un monde vivant doté d'un mystère… l'âme de chacun dans l'âme du monde. Cette vision rejoint celle de C;G. Yung, d’A.Einstein, de Joel de Ronay, d’Edgar Morin…
Maurice Druon, nous enseigne dans "les rois maudits" la terrible puissance d'un imaginaire négatif, qui sur plusieurs dynasties fait porter le malheur et la malédiction, d'un mauvais sors, une destinée…
• • • SUITE

tisse-tout

&

• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi & l'EUPV, tisse-tout : • Harmundi et Tisse-Tout, deux structures, un ouvrage, la chaine et la trame, une association a but non lucratif, et une entreprise. La coïncidence des contraires, Le tout pour la vie. Conçu comme une toile, une œuvre un ouvrage. Harmundi, et tisse-tout deux folies qui raisonnent, et a la fois deux gardes fou mutuels, les pieds sur terre et la tête dans les étoile. Une magie espérée. La foi en soi et la foi en les autres. deux gardes fou réciproques de la folie de toute puissance du pouvoir, au service d'autre chose que celui de la vie, et garde fou de la bienpensance, pouvoir de l'imaginaire, une utopie qui voudrait s'exprimer sur terre pour quelques uns seulement, et par un unique chemin, pour rejoindre hypocritement la première, la folle toute puissance dans les mains d'un seul. 
Harmundi et tisse tout c'est aussi et surtout, a la fois contribuer à mettre en œuvre pour les autres et œuvrer pour soi même, tenter aussi de faire modèle. Deux intentions deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, écouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire Une dualité qui rejoins, celles exprimées de multiples facons au curs de l'histoire par l'humanité, celle de prométhée et d'hermes, (ou d'ovide), celle du corps et de l'esprit, etc… unifiées par une conscience commune, faite de lumière. • • • en pratique
introduction
la symbolique du lien
tisse-tout et Tistou
tisse-tout et harmundi
tisse-tout édition
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Entreprise d'Utilité Publique pour le Vivant

• Tisse-tout rassemble une série d'activités ayant pour point commun de concevoir de fabriquer et de commercialiser des produits, des œuvres et des ouvrages, qui contribuent tous en priorité au développement du vivant mais aussi limitent l'impact préjudiciable des activités humaines sur la Vie, en favorisant un développement et un mode de vie plus respectueux de ce que nous sommes. • Albert Camus a écrit, " l'homme est le seul animal à ne pas avoir conscience de ce qu'il est". Changeons !, nous sommes des êtres vivants, respectons la Vie, cultivons-la, cultivons-nous. • Architecture symbiotique, sans empreinte au sol, à la fois durable et biodégradable, design partagé, design pour la Vie, design de la Vie, communication consciente du pouvoir de l'imaginaire, de ses vertus et de ses écueils comme la diabolisation et la bien-pensance, entre autre. Repenser l'industrie de la mode et la mettre en œuvre à travers la revalorisation des cycles courts et l'authentification des tracés jusqu'à l'origine des matières premières vivantes et de ceux qui les cultivent en harmonie avec le reste du vivant. Promouvoir des filières où chacun des partenaires est justement rétribué pour sa valeur ajoutée qu'elle soir matérielle ou immatérielle. Valoriser les approches contemporaines de l'agriculture, celle qui œuvrent pour renaturalisation des humains et leur liberté retrouvée. Liberté d'agir et de créer en partage avec la nature… Oeuvre à la beauté du monde, fabriquer les outils pour le cultiver, dans le partage. Vendre et promouvoir avec éthique, promouvoir un marketing, fait de pureté d'intention, d'intégrité et de détermination, repenser l'industrie et la faire revivre en harmonie dans des friches industrielles et commerciales réenchantées par la vie et la nature réimplantée… etc
La symbolique du lien
• Le tissage montre à la main et à l'oeil, au toucher et à l'intellect, la façon dont il faut se représenter la vie en société. Tisser, c'est unifier, entrelacer, lier ; le geste s'impose avec une telle évidence qu'il ne semble avoir besoin d'autre interprétation. "Certaines réalités ont leurs ressemblances naturelles, faciles à découvrir en des objets qui parlent aux sens" (Platon, rééd. 1970), c'est bien illustré par le geste de tisser, qui tout naturellement figure le sens, donne à voir ce qu'il signifie. Ainsi un des premiers sens pris par le tissage est-il d'"unir ensemble des réalités différentes" (Chevalier J, Gheerbrant A., 1982). Cette représentation du lien est à même de fabriquer du social. J. Scheid et J. Svenbro montrent comment le geste du tissage faisait partie intégrante de la mythologie gréco-romaine, et imprégnait les représentations du social (Scheid J., Svenbro J., 1994). Ils voient dans cette activité un modèle de cohésion sociale, un geste mythique apte à produire de l'harmonie. "Tisser, c'est entrelacer ce qui est différent, contraire, hostile, afin de produire une toile harmonieuse, unie." Aussi pouvons-nous dire en ce sens que le tissu est le symbole de cette structure de l'imaginaire synthétique qui est responsable de la coïncidence des contraires. Tisser l'harmonie, entrelacer les contraires pour créer du lien, fabriquer une étoffe sociale cohérente. De là, une autre signification, concilier les fils embrouillés par les hostilités. La Khlaîna imaginée par Lysistrata dans la comédie d'Aristophane est un plan politique destiné à tisser la réconciliation du peuple de l'empire athénien après une période de guerre. Le tissage est alors l'opération qui fabrique la paix, qui aide la cité à maîtriser ses contradictions et à affirmer son unité. A la guerre déclarée, le peuple athénien répond par la solution symbolique du tissage.
Une évocation à Tistou les pouces verts le roman de Maurice Druon, et un symbole de vie
• Faire des corrélations. Corréler. Nous sommes libres, nous sommes depuis l'aube, libres. Libres de penser, de faire des liens, cette toile est notre histoire, et notre vie, cette toile est unique, nous la transmettons à nos enfants, elle sera aussi une partie de l'histoire dont ils se draperont. Des liens entre ce que l'on croit, et ce que l'on sait, des liens entre ce que l'on vit, et ce que l'on apprend, des liens libres de tout dogme, ou les sciences côtoient le spirituel et le ressenti. Ici, derrière les yeux et entre les oreilles personne ne vous jugera… à part vous-même. Les plus grands voyages sont intérieurs, pas besoin de passeport pour ceux qui restent libres dans leur tête, nous dit Jacques Prévert. Cette toile est un roman, les acteurs notre entourage, et nos aïeux, qui ont eu la délicatesse, de nous raconter le meilleur de ce qu'ils ont pu être ou faire, pour que nous ayons comme dignité d'être à la hauteur de notre histoire, au delà de nous-même, et de nous inscrire par la même dans l'histoire du monde. Nous sommes libres et pourtant chaque être vivant influence l'autre, nous sommes tous reliés par un imaginaire qui n'est personne et qui est tout le monde, nous sommes pétris de lumière. Dès l'enfance, chaque mot, chaque regard nous construit, droit ou tordu, fiers ou honteux, nous sommes dès l'enfance forgé du miroir que les autres nous renvoie. Nous serons, ce que le monde nous aura renvoyé de nous-même, un simple sourire, au moment crucial, le mot qu'il faut ou ne faut pas, même un silence, le bon ou le mauvais. Le langage n'a pas été nécessaire au jeune singe mâle ou femelle, pour savoir s'il sera dominé ou dominant, l'imaginaire n'est pas né avec la représentation, et si l'image est ce qui nous lie à Dieu, il nous revient d'éclairer. cette complexité de ce que nous sommes, des êtres vivants qui composent un monde vivant doté d'un mystère… l'âme de chacun dans l'âme du monde. Cette vision rejoint celle de C;G. Yung, d’A.Einstein, de Joel de Ronay, d’Edgar Morin…
Maurice Druon, nous enseigne dans "les rois maudits" la terrible puissance d'un imaginaire négatif, qui sur plusieurs dynasties fait porter le malheur et la malédiction, d'un mauvais sors, une destinée…
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi & l'EUPV, tisse-tout : • Harmundi et Tisse-Tout, deux structures, un ouvrage, la chaine et la trame, une association a but non lucratif, et une entreprise. La coïncidence des contraires, Le tout pour la vie. Conçu comme une toile, une œuvre un ouvrage. Harmundi, et tisse-tout deux folies qui raisonnent, et a la fois deux gardes fou mutuels, les pieds sur terre et la tête dans les étoile. Une magie espérée. La foi en soi et la foi en les autres. deux gardes fou réciproques de la folie de toute puissance du pouvoir, au service d'autre chose que celui de la vie, et garde fou de la bienpensance, pouvoir de l'imaginaire, une utopie qui voudrait s'exprimer sur terre pour quelques uns seulement, et par un unique chemin, pour rejoindre hypocritement la première, la folle toute puissance dans les mains d'un seul. 
Harmundi et tisse tout c'est aussi et surtout, a la fois contribuer à mettre en œuvre pour les autres et œuvrer pour soi même, tenter aussi de faire modèle. Deux intentions deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, écouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire Une dualité qui rejoins, celles exprimées de multiples facons au curs de l'histoire par l'humanité, celle de prométhée et d'hermes, (ou d'ovide), celle du corps et de l'esprit, etc… unifiées par une conscience commune, faite de lumière.
• Tisse-tout rassemble une série d'activités ayant pour point commun de concevoir de fabriquer et de commercialiser des produits, des œuvres et des ouvrages, qui contribuent tous en priorité au développement du vivant mais aussi limitent l'impact préjudiciable des activités humaines sur la Vie, en favorisant un développement et un mode de vie plus respectueux de ce que nous sommes. • Albert Camus a écrit, " l'homme est le seul animal à ne pas avoir conscience de ce qu'il est". Changeons !, nous sommes des êtres vivants, respectons la Vie, cultivons-la, cultivons-nous. • Architecture symbiotique, sans empreinte au sol, à la fois durable et biodégradable, design partagé, design pour la Vie, design de la Vie, communication consciente du pouvoir de l'imaginaire, de ses vertus et de ses écueils comme la diabolisation et la bien-pensance, entre autre. Repenser l'industrie de la mode et la mettre en œuvre à travers la revalorisation des cycles courts et l'authentification des tracés jusqu'à l'origine des matières premières vivantes et de ceux qui les cultivent en harmonie avec le reste du vivant. Promouvoir des filières où chacun des partenaires est justement rétribué pour sa valeur ajoutée qu'elle soir matérielle ou immatérielle. Valoriser les approches contemporaines de l'agriculture, celle qui œuvrent pour renaturalisation des humains et leur liberté retrouvée. Liberté d'agir et de créer en partage avec la nature… Oeuvre à la beauté du monde, fabriquer les outils pour le cultiver, dans le partage. Vendre et promouvoir avec éthique, promouvoir un marketing, fait de pureté d'intention, d'intégrité et de détermination, repenser l'industrie et la faire revivre en harmonie dans des friches industrielles et commerciales réenchantées par la vie et la nature réimplantée… etc Entreprise d'Utilité Publique pour le Vivant

La symbolique du lien
• Le tissage montre à la main et à l'oeil, au toucher et à l'intellect, la façon dont il faut se représenter la vie en société. Tisser, c'est unifier, entrelacer, lier ; le geste s'impose avec une telle évidence qu'il ne semble avoir besoin d'autre interprétation. "Certaines réalités ont leurs ressemblances naturelles, faciles à découvrir en des objets qui parlent aux sens" (Platon, rééd. 1970), c'est bien illustré par le geste de tisser, qui tout naturellement figure le sens, donne à voir ce qu'il signifie. Ainsi un des premiers sens pris par le tissage est-il d'"unir ensemble des réalités différentes" (Chevalier J, Gheerbrant A., 1982). Cette représentation du lien est à même de fabriquer du social. J. Scheid et J. Svenbro montrent comment le geste du tissage faisait partie intégrante de la mythologie gréco-romaine, et imprégnait les représentations du social (Scheid J., Svenbro J., 1994). Ils voient dans cette activité un modèle de cohésion sociale, un geste mythique apte à produire de l'harmonie. "Tisser, c'est entrelacer ce qui est différent, contraire, hostile, afin de produire une toile harmonieuse, unie." Aussi pouvons-nous dire en ce sens que le tissu est le symbole de cette structure de l'imaginaire synthétique qui est responsable de la coïncidence des contraires. Tisser l'harmonie, entrelacer les contraires pour créer du lien, fabriquer une étoffe sociale cohérente. De là, une autre signification, concilier les fils embrouillés par les hostilités. La Khlaîna imaginée par Lysistrata dans la comédie d'Aristophane est un plan politique destiné à tisser la réconciliation du peuple de l'empire athénien après une période de guerre. Le tissage est alors l'opération qui fabrique la paix, qui aide la cité à maîtriser ses contradictions et à affirmer son unité. A la guerre déclarée, le peuple athénien répond par la solution symbolique du tissage.
Une évocation à Tistou les pouces verts le roman de Maurice Druon, et un symbole de vie
• Faire des corrélations. Corréler. Nous sommes libres, nous sommes depuis l'aube, libres. Libres de penser, de faire des liens, cette toile est notre histoire, et notre vie, cette toile est unique, nous la transmettons à nos enfants, elle sera aussi une partie de l'histoire dont ils se draperont. Des liens entre ce que l'on croit, et ce que l'on sait, des liens entre ce que l'on vit, et ce que l'on apprend, des liens libres de tout dogme, ou les sciences côtoient le spirituel et le ressenti. Ici, derrière les yeux et entre les oreilles personne ne vous jugera… à part vous-même. Les plus grands voyages sont intérieurs, pas besoin de passeport pour ceux qui restent libres dans leur tête, nous dit Jacques Prévert. Cette toile est un roman, les acteurs notre entourage, et nos aïeux, qui ont eu la délicatesse, de nous raconter le meilleur de ce qu'ils ont pu être ou faire, pour que nous ayons comme dignité d'être à la hauteur de notre histoire, au delà de nous-même, et de nous inscrire par la même dans l'histoire du monde. Nous sommes libres et pourtant chaque être vivant influence l'autre, nous sommes tous reliés par un imaginaire qui n'est personne et qui est tout le monde, nous sommes pétris de lumière. Dès l'enfance, chaque mot, chaque regard nous construit, droit ou tordu, fiers ou honteux, nous sommes dès l'enfance forgé du miroir que les autres nous renvoie. Nous serons, ce que le monde nous aura renvoyé de nous-même, un simple sourire, au moment crucial, le mot qu'il faut ou ne faut pas, même un silence, le bon ou le mauvais. Le langage n'a pas été nécessaire au jeune singe mâle ou femelle, pour savoir s'il sera dominé ou dominant, l'imaginaire n'est pas né avec la représentation, et si l'image est ce qui nous lie à Dieu, il nous revient d'éclairer. cette complexité de ce que nous sommes, des êtres vivants qui composent un monde vivant doté d'un mystère… l'âme de chacun dans l'âme du monde. Cette vision rejoint celle de C;G. Yung, d’A.Einstein, de Joel de Ronay, d’Edgar Morin…
Maurice Druon, nous enseigne dans "les rois maudits" la terrible puissance d'un imaginaire négatif, qui sur plusieurs dynasties fait porter le malheur et la malédiction, d'un mauvais sors, une destinée…
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi & l'EUPV, tisse-tout : • Harmundi et Tisse-Tout, deux structures, un ouvrage, la chaine et la trame, une association a but non lucratif, et une entreprise. La coïncidence des contraires, Le tout pour la vie. Conçu comme une toile, une œuvre un ouvrage. Harmundi, et tisse-tout deux folies qui raisonnent, et a la fois deux gardes fou mutuels, les pieds sur terre et la tête dans les étoile. Une magie espérée. La foi en soi et la foi en les autres. deux gardes fou réciproques de la folie de toute puissance du pouvoir, au service d'autre chose que celui de la vie, et garde fou de la bienpensance, pouvoir de l'imaginaire, une utopie qui voudrait s'exprimer sur terre pour quelques uns seulement, et par un unique chemin, pour rejoindre hypocritement la première, la folle toute puissance dans les mains d'un seul. 
Harmundi et tisse tout c'est aussi et surtout, a la fois contribuer à mettre en œuvre pour les autres et œuvrer pour soi même, tenter aussi de faire modèle. Deux intentions deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, écouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire Une dualité qui rejoins, celles exprimées de multiples facons au curs de l'histoire par l'humanité, celle de prométhée et d'hermes, (ou d'ovide), celle du corps et de l'esprit, etc… unifiées par une conscience commune, faite de lumière.
Entreprise d'Utilité Publique pour le Vivant

• Tisse-tout rassemble une série d'activités ayant pour point commun de concevoir de fabriquer et de commercialiser des produits, des œuvres et des ouvrages, qui contribuent tous en priorité au développement du vivant mais aussi limitent l'impact préjudiciable des activités humaines sur la Vie, en favorisant un développement et un mode de vie plus respectueux de ce que nous sommes. • Albert Camus a écrit, " l'homme est le seul animal à ne pas avoir conscience de ce qu'il est". Changeons !, nous sommes des êtres vivants, respectons la Vie, cultivons-la, cultivons-nous. • Architecture symbiotique, sans empreinte au sol, à la fois durable et biodégradable, design partagé, design pour la Vie, design de la Vie, communication consciente du pouvoir de l'imaginaire, de ses vertus et de ses écueils comme la diabolisation et la bien-pensance, entre autre. Repenser l'industrie de la mode et la mettre en œuvre à travers la revalorisation des cycles courts et l'authentification des tracés jusqu'à l'origine des matières premières vivantes et de ceux qui les cultivent en harmonie avec le reste du vivant. Promouvoir des filières où chacun des partenaires est justement rétribué pour sa valeur ajoutée qu'elle soir matérielle ou immatérielle. Valoriser les approches contemporaines de l'agriculture, celle qui œuvrent pour renaturalisation des humains et leur liberté retrouvée. Liberté d'agir et de créer en partage avec la nature… Oeuvre à la beauté du monde, fabriquer les outils pour le cultiver, dans le partage. Vendre et promouvoir avec éthique, promouvoir un marketing, fait de pureté d'intention, d'intégrité et de détermination, repenser l'industrie et la faire revivre en harmonie dans des friches industrielles et commerciales réenchantées par la vie et la nature réimplantée… etc
La symbolique du lien • Le tissage montre à la main et à l'oeil, au toucher et à l'intellect, la façon dont il faut se représenter la vie en société. Tisser, c'est unifier, entrelacer, lier ; le geste s'impose avec une telle évidence qu'il ne semble avoir besoin d'autre interprétation. "Certaines réalités ont leurs ressemblances naturelles, faciles à découvrir en des objets qui parlent aux sens" (Platon, rééd. 1970), c'est bien illustré par le geste de tisser, qui tout naturellement figure le sens, donne à voir ce qu'il signifie. Ainsi un des premiers sens pris par le tissage est-il d'"unir ensemble des réalités différentes" (Chevalier J, Gheerbrant A., 1982). Cette représentation du lien est à même de fabriquer du social. J. Scheid et J. Svenbro montrent comment le geste du tissage faisait partie intégrante de la mythologie gréco-romaine, et imprégnait les représentations du social (Scheid J., Svenbro J., 1994). Ils voient dans cette activité un modèle de cohésion sociale, un geste mythique apte à produire de l'harmonie. "Tisser, c'est entrelacer ce qui est différent, contraire, hostile, afin de produire une toile harmonieuse, unie." Aussi pouvons-nous dire en ce sens que le tissu est le symbole de cette structure de l'imaginaire synthétique qui est responsable de la coïncidence des contraires. Tisser l'harmonie, entrelacer les contraires pour créer du lien, fabriquer une étoffe sociale cohérente. De là, une autre signification, concilier les fils embrouillés par les hostilités. La Khlaîna imaginée par Lysistrata dans la comédie d'Aristophane est un plan politique destiné à tisser la réconciliation du peuple de l'empire athénien après une période de guerre. Le tissage est alors l'opération qui fabrique la paix, qui aide la cité à maîtriser ses contradictions et à affirmer son unité. A la guerre déclarée, le peuple athénien répond par la solution symbolique du tissage.
Une évocation à Tistou les pouces verts le roman de Maurice Druon, et un symbole de vie • Faire des corrélations. Corréler. Nous sommes libres, nous sommes depuis l'aube, libres. Libres de penser, de faire des liens, cette toile est notre histoire, et notre vie, cette toile est unique, nous la transmettons à nos enfants, elle sera aussi une partie de l'histoire dont ils se draperont. Des liens entre ce que l'on croit, et ce que l'on sait, des liens entre ce que l'on vit, et ce que l'on apprend, des liens libres de tout dogme, ou les sciences côtoient le spirituel et le ressenti. Ici, derrière les yeux et entre les oreilles personne ne vous jugera… à part vous-même. Les plus grands voyages sont intérieurs, pas besoin de passeport pour ceux qui restent libres dans leur tête, nous dit Jacques Prévert. Cette toile est un roman, les acteurs notre entourage, et nos aïeux, qui ont eu la délicatesse, de nous raconter le meilleur de ce qu'ils ont pu être ou faire, pour que nous ayons comme dignité d'être à la hauteur de notre histoire, au delà de nous-même, et de nous inscrire par la même dans l'histoire du monde. Nous sommes libres et pourtant chaque être vivant influence l'autre, nous sommes tous reliés par un imaginaire qui n'est personne et qui est tout le monde, nous sommes pétris de lumière. Dès l'enfance, chaque mot, chaque regard nous construit, droit ou tordu, fiers ou honteux, nous sommes dès l'enfance forgé du miroir que les autres nous renvoie. Nous serons, ce que le monde nous aura renvoyé de nous-même, un simple sourire, au moment crucial, le mot qu'il faut ou ne faut pas, même un silence, le bon ou le mauvais. Le langage n'a pas été nécessaire au jeune singe mâle ou femelle, pour savoir s'il sera dominé ou dominant, l'imaginaire n'est pas né avec la représentation, et si l'image est ce qui nous lie à Dieu, il nous revient d'éclairer. cette complexité de ce que nous sommes, des êtres vivants qui composent un monde vivant doté d'un mystère… l'âme de chacun dans l'âme du monde. Cette vision rejoint celle de C;G. Yung, d’A.Einstein, de Joel de Ronay, d’Edgar Morin…
Maurice Druon, nous enseigne dans "les rois maudits" la terrible puissance d'un imaginaire négatif, qui sur plusieurs dynasties fait porter le malheur et la malédiction, d'un mauvais sors, une destinée…
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi & l'EUPV, tisse-tout : • Harmundi et Tisse-Tout, deux structures, un ouvrage, la chaine et la trame, une association a but non lucratif, et une entreprise. La coïncidence des contraires, Le tout pour la vie. Conçu comme une toile, une œuvre un ouvrage. Harmundi, et tisse-tout deux folies qui raisonnent, et a la fois deux gardes fou mutuels, les pieds sur terre et la tête dans les étoile. Une magie espérée. La foi en soi et la foi en les autres. deux gardes fou réciproques de la folie de toute puissance du pouvoir, au service d'autre chose que celui de la vie, et garde fou de la bienpensance, pouvoir de l'imaginaire, une utopie qui voudrait s'exprimer sur terre pour quelques uns seulement, et par un unique chemin, pour rejoindre hypocritement la première, la folle toute puissance dans les mains d'un seul. 
Harmundi et tisse tout c'est aussi et surtout, a la fois contribuer à mettre en œuvre pour les autres et œuvrer pour soi même, tenter aussi de faire modèle. Deux intentions deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, écouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire Une dualité qui rejoins, celles exprimées de multiples facons au curs de l'histoire par l'humanité, celle de prométhée et d'hermes, (ou d'ovide), celle du corps et de l'esprit, etc… unifiées par une conscience commune, faite de lumière.
Entreprise d'Utilité Publique pour le Vivant

• Tisse-tout rassemble une série d'activités ayant pour point commun de concevoir de fabriquer et de commercialiser des produits, des œuvres et des ouvrages, qui contribuent tous en priorité au développement du vivant mais aussi limitent l'impact préjudiciable des activités humaines sur la Vie, en favorisant un développement et un mode de vie plus respectueux de ce que nous sommes. • Albert Camus a écrit, " l'homme est le seul animal à ne pas avoir conscience de ce qu'il est". Changeons !, nous sommes des êtres vivants, respectons la Vie, cultivons-la, cultivons-nous. • Architecture symbiotique, sans empreinte au sol, à la fois durable et biodégradable, design partagé, design pour la Vie, design de la Vie, communication consciente du pouvoir de l'imaginaire, de ses vertus et de ses écueils comme la diabolisation et la bien-pensance, entre autre. Repenser l'industrie de la mode et la mettre en œuvre à travers la revalorisation des cycles courts et l'authentification des tracés jusqu'à l'origine des matières premières vivantes et de ceux qui les cultivent en harmonie avec le reste du vivant. Promouvoir des filières où chacun des partenaires est justement rétribué pour sa valeur ajoutée qu'elle soir matérielle ou immatérielle. Valoriser les approches contemporaines de l'agriculture, celle qui œuvrent pour renaturalisation des humains et leur liberté retrouvée. Liberté d'agir et de créer en partage avec la nature… Oeuvre à la beauté du monde, fabriquer les outils pour le cultiver, dans le partage. Vendre et promouvoir avec éthique, promouvoir un marketing, fait de pureté d'intention, d'intégrité et de détermination, repenser l'industrie et la faire revivre en harmonie dans des friches industrielles et commerciales réenchantées par la vie et la nature réimplantée… etc
La symbolique du lien
• Le tissage montre à la main et à l'oeil, au toucher et à l'intellect, la façon dont il faut se représenter la vie en société. Tisser, c'est unifier, entrelacer, lier ; le geste s'impose avec une telle évidence qu'il ne semble avoir besoin d'autre interprétation. "Certaines réalités ont leurs ressemblances naturelles, faciles à découvrir en des objets qui parlent aux sens" (Platon, rééd. 1970), c'est bien illustré par le geste de tisser, qui tout naturellement figure le sens, donne à voir ce qu'il signifie. Ainsi un des premiers sens pris par le tissage est-il d'"unir ensemble des réalités différentes" (Chevalier J, Gheerbrant A., 1982). Cette représentation du lien est à même de fabriquer du social. J. Scheid et J. Svenbro montrent comment le geste du tissage faisait partie intégrante de la mythologie gréco-romaine, et imprégnait les représentations du social (Scheid J., Svenbro J., 1994). Ils voient dans cette activité un modèle de cohésion sociale, un geste mythique apte à produire de l'harmonie. "Tisser, c'est entrelacer ce qui est différent, contraire, hostile, afin de produire une toile harmonieuse, unie." Aussi pouvons-nous dire en ce sens que le tissu est le symbole de cette structure de l'imaginaire synthétique qui est responsable de la coïncidence des contraires. Tisser l'harmonie, entrelacer les contraires pour créer du lien, fabriquer une étoffe sociale cohérente. De là, une autre signification, concilier les fils embrouillés par les hostilités. La Khlaîna imaginée par Lysistrata dans la comédie d'Aristophane est un plan politique destiné à tisser la réconciliation du peuple de l'empire athénien après une période de guerre. Le tissage est alors l'opération qui fabrique la paix, qui aide la cité à maîtriser ses contradictions et à affirmer son unité. A la guerre déclarée, le peuple athénien répond par la solution symbolique du tissage.
Une évocation à Tistou les pouces verts le roman de Maurice Druon, et un symbole de vie
• Faire des corrélations. Corréler. Nous sommes libres, nous sommes depuis l'aube, libres. Libres de penser, de faire des liens, cette toile est notre histoire, et notre vie, cette toile est unique, nous la transmettons à nos enfants, elle sera aussi une partie de l'histoire dont ils se draperont. Des liens entre ce que l'on croit, et ce que l'on sait, des liens entre ce que l'on vit, et ce que l'on apprend, des liens libres de tout dogme, ou les sciences côtoient le spirituel et le ressenti. Ici, derrière les yeux et entre les oreilles personne ne vous jugera… à part vous-même. Les plus grands voyages sont intérieurs, pas besoin de passeport pour ceux qui restent libres dans leur tête, nous dit Jacques Prévert. Cette toile est un roman, les acteurs notre entourage, et nos aïeux, qui ont eu la délicatesse, de nous raconter le meilleur de ce qu'ils ont pu être ou faire, pour que nous ayons comme dignité d'être à la hauteur de notre histoire, au delà de nous-même, et de nous inscrire par la même dans l'histoire du monde. Nous sommes libres et pourtant chaque être vivant influence l'autre, nous sommes tous reliés par un imaginaire qui n'est personne et qui est tout le monde, nous sommes pétris de lumière. Dès l'enfance, chaque mot, chaque regard nous construit, droit ou tordu, fiers ou honteux, nous sommes dès l'enfance forgé du miroir que les autres nous renvoie. Nous serons, ce que le monde nous aura renvoyé de nous-même, un simple sourire, au moment crucial, le mot qu'il faut ou ne faut pas, même un silence, le bon ou le mauvais. Le langage n'a pas été nécessaire au jeune singe mâle ou femelle, pour savoir s'il sera dominé ou dominant, l'imaginaire n'est pas né avec la représentation, et si l'image est ce qui nous lie à Dieu, il nous revient d'éclairer. cette complexité de ce que nous sommes, des êtres vivants qui composent un monde vivant doté d'un mystère… l'âme de chacun dans l'âme du monde. Cette vision rejoint celle de C;G. Yung, d’A.Einstein, de Joel de Ronay, d’Edgar Morin…
Maurice Druon, nous enseigne dans "les rois maudits" la terrible puissance d'un imaginaire négatif, qui sur plusieurs dynasties fait porter le malheur et la malédiction, d'un mauvais sors, une destinée…
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi & l'EUPV, tisse-tout : • Harmundi et Tisse-Tout, deux structures, un ouvrage, la chaine et la trame, une association a but non lucratif, et une entreprise. La coïncidence des contraires, Le tout pour la vie. Conçu comme une toile, une œuvre un ouvrage. Harmundi, et tisse-tout deux folies qui raisonnent, et a la fois deux gardes fou mutuels, les pieds sur terre et la tête dans les étoile. Une magie espérée. La foi en soi et la foi en les autres. deux gardes fou réciproques de la folie de toute puissance du pouvoir, au service d'autre chose que celui de la vie, et garde fou de la bienpensance, pouvoir de l'imaginaire, une utopie qui voudrait s'exprimer sur terre pour quelques uns seulement, et par un unique chemin, pour rejoindre hypocritement la première, la folle toute puissance dans les mains d'un seul. 
Harmundi et tisse tout c'est aussi et surtout, a la fois contribuer à mettre en œuvre pour les autres et œuvrer pour soi même, tenter aussi de faire modèle. Deux intentions deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, écouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire Une dualité qui rejoins, celles exprimées de multiples facons au curs de l'histoire par l'humanité, celle de prométhée et d'hermes, (ou d'ovide), celle du corps et de l'esprit, etc… unifiées par une conscience commune, faite de lumière.