tisse-tout et la petite reine
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historique et orientation
• les fleurs du bien
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tisse-tout design
Design pour la vie • tisse-tout design est le fruit, d'une histoire familliale et personnelle. Il y a 60 ans les premiers designers, ceux des années 1960 a 1980, ont eu a repenser les objets décoratifs et techniques. Si cette aventure est loin d'être terminée, avant même qu'elle ne le soit, de nouveaux enjeux, a l'opposé de ceux d'hier la relance. Des entreprises comme apple ont mis 20 ans a faire ce que d'autres avant-gardistes avaient fait 40 ans plus tôt. Il a fallu en effet attendre les années 2000 pour voir apparaître les premiers Imac ; 20 ans après le premier mac. Les gros bonbons roses, oranges; ou vert, tout s'est enchainé, très vite chez la firme a la pomme tant l'évidence de l'harmonie esthétique et technique était le reflet de la perfection, de la créativité, de l'intelligence dans la conception. Cette idée d'harmonie, née d'une conception profondément réfléchie et ressentie se décline aujourd'hui a d'autres domaines que la création d'objets ; on parle en effet de design, pour une panoplie d'approche qui ont a cœur de penser ce que l'on fait avant de le mettre en œuvre, a penser de façon globale nos action leur sens et leur conséquence. Design your life, design yourself; avons nous même écris, nous amène vers un "design the world" qui n'est pas sans poser question. Si cette idée aujourd'hui se décline, cela est en partie le resultat du fait que derrière la notion de design se trouve une volonté de cohérence globale, résumée en une une volonté d'evidence, une évidence, qui n'est pas sans évoquer l'idée d'un mirroir du Vivant. Si certaines approches ont fait parfois dévier le concept vers une industrialisation d'un ego créatif surdimentionné,(emmenant l'idée du design a l'inverse de son intention initiale, faite de pureté et de simplicité, faisant passer parfois même l'art décoratif individuel du créateur avant même le soucis du confort de l'ergonomie de l'agrément de celui a qui il est destiné), le design s'est pourtant par aileurs affranchi depuis longtemps de la lecture au premier degré de la définition qu'en donnait Raymond Lewi : reduire l'objet a sa fonction, l'objet ne voulait pas, dirait-on, être reduit a sa fonction, il s'est bien défendu.

omnia

Objet inanimés avez vous donc une âme ? C'est toute la question, une question d'équilibre, une question d'équilibre et de respect. Respect du créateur pour lui même et sa créativité, respect de l'objet de ceux qui le concoivent, ceux qui le fabrique, respect pour la matière première et les conséquences de sa transformation et de son utilisation sur les êtres vivants qui en sont impactés, respect de l'imaginaire de celui qui en aura l'usage, respect de l'usage lui même,etc… A l'image du vivant il n'y a pas une seul chemin vers la grâce et l'élégance, il n'y a pas une seul chemin vers Compostel, il n'y a pas un seul chemin pour réduire l'objet a sa fonction, et monsieur Loewi, dans cette phrase que l'on pourrait qualifier de perverse s'il nous parlait d'une personne, de cette volonté d'épure a engendrée de façon réactionnelle, une mise au monde, l'arroseur s'est arrosé lui même, et des contraintes qu'il avait fixé est né une question Le design est avant tout une question. De cette question est née une symphonie de réponse. Un questionnement fondamental qui rassemble. Comme le jardinier, les designers sont tous passionnés, certains sont passionnels. Tous recherchent l'alchimie, la transformation de la boue en or, la nature de cet or sera le signe de l'intégrité des créateurs et de la qualité de leur démarche. Cet or peut être la fortune ou la sagesse, la vie avec son cortège de bienfaits, ou la toute puissance d'un succès individuel sans limite. Le questionnement s'est enrichi, le monde a changé et le design change, tout autant qu'il peut changer le monde. De fait quel est la fonction de l'objet On constate aujourdhui un mouvement lucide, dont les racines sont anciennes. Un mouvement qui cherche a se liberer des emprises sociales et marchandes. Emprise sur l'imaginaire indivuduel tout autant que collectif. Ces emprises ne sont pas nouvelles, leur ampleur l'est. Le culte voué aux biens matériel n'est pas dénoncé d'hier, que ce soit Marx, ou Perec, ou bien d'autres. Le mouvement qui nous amène aujourdhui a nous passer de tout sauf de l'essentiel, est pourtant davantage un mouvement de libération de l'esprit face un déir de l'emprise des marchands et des systeme, un délire consumériste, ou l'accumaltion tente de remplacer le vide spirituel, et ou les objets quelles que soient leur qualité sont noyés dans la quantités, et plutot en génral abimés dans leur véritable valeur par des marques qui mentent structurellement poussées par un marketing qui ne sais que dire ce que les gens ont envi d'entendre et prennent la place des divinités d'antan. La démarche d’Apple dans les années 2000, est celle adoptée dans les années 60 par des fabricants de télévision, de machines a laver et bien d'autre encore. L'entreprise Manufrance s'est lancée dans cette aventure, avec la machine a coudre Omnia M12. Elle était la continuation d'un précédant produit ou le contenant et le contenu faisaient corps. Mon père William Camus avait collaboré a ce projet en tant que jeune designer, issu de la première promotion de design industriel de l'école de la Cambre a Bruxelles. J'ai retrouvé ces deux machines dans la famille de ma compagne et associée de tisse-tout. Madame Françoise piot. L’une appartenant a sa sœur, l'autre a sa maman. Ce dans la ville de Cholet. Et ma fille Nina Camus, a eu le plaisir de se voir raccommoder ses habits sur une machine a coudre, conçue par son grand père 60 ans plus tôt. C'est donc avec plaisir, que je diffuse ces photos émouvantes, qui témoignent des liens qui parfois unissent dans le temps et l'espace, les humains et les choses, de façon mystérieuse et bouleversantes, et font mentir Georges Perec.. Deux machines l'une fonctionnant 60 après sa fabrication, l'autre, 75 ans après sa fabrication, des idées et des objet qui perdurent. Il fut un temps, ou en France l'on avait le désir de produire des objets qui durent cent ans et des idées qui en durent mille. Paradoxalement, penser en trois dimension, dans la société d’aujourd’hui nous remettre a fonder des objets et des idées en trois dimension. Des idées en trois dimension dans un monde ou les images, les mots et la représentation ont pris le pouvoir et ou l'obsolescence est l'amie de l'immanence et de la superficialité. A force de détournement et de mensonge l'image qui hier portait en elle une magie, mystère de ce qu'elle ne disait pas l'image tout autant que les mots et les représentation souffrent de surabondance de détournement du mensonge, de l'a spéculation, qui mettent en évidence la limite de la représentation. Nous souffrons de cette pensée en deux dimension a laquelle l'âme a été volée, et qui plus elle s’accroît plus elle aplatie Nos cerveaux sont bâtis pour penser en trois dimension, nos histoires personnelles, sont des temples ou des églises aux multiples piliers que nous bâtissons, dans des représentation qui sont loin d"être plates, et que l'on nous contraint a réduire. Alors, nous assistons, depuis quelques temps à une sois-disant épure, qui se nomme dématérialisation, et qui ne cache, qu'une épuration, et une emprise au numérique qui nous enferme dans dans un grand nuage noir spéculatif. Nous avons la chance de vivre sur terre, . Créons ! Certains objets ont une âme… Oui. Il y a une tradition en design qui fait du design un instrument de réforme sociale. Lawrence Lessig, juriste américain milite en ce sens. Il est président de creative commons, ferveur défenseur de la création, des droits d'auteur à l'heure du numérique. Cela l'a aussi amené à étudier et dénoncer la corruption politique dans les démocraties ... comme c'est bizarre. • • • Pour lire la suite, c'est gratuit et sans inscription, 
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&

• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi, 
EUPV, tisse-tout, 
contribuer à mettre en oeuvre pour les autres, oeuvrer pour soi même et tenter de faire modele. Deux intention deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, ecouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire • • • en savoir plus
tisse-tout voyage
•
introduction
les fleurs du bien
tisse-tout voyage
tisse-tout et harmundi
tisse-tout qui fume
•
Design pour la vie
• tisse-tout design est le fruit, d'une histoire familliale et personnelle. Il y a 60 ans les premiers designers, ceux des années 1960 a 1980, ont eu a repenser les objets décoratifs et techniques. Si cette aventure est loin d'être terminée, avant même qu'elle ne le soit, de nouveaux enjeux, a l'opposé de ceux d'hier la relance. Des entreprises comme apple ont mis 20 ans a faire ce que d'autres avant-gardistes avaient fait 40 ans plus tôt. Il a fallu en effet attendre les années 2000 pour voir apparaître les premiers Imac ; 20 ans après le premier mac. Les gros bonbons roses, oranges; ou vert, tout s'est enchainé, très vite chez la firme a la pomme tant l'évidence de l'harmonie esthétique et technique était le reflet de la perfection, de la créativité, de l'intelligence dans la conception. Cette idée d'harmonie, née d'une conception profondément réfléchie et ressentie se décline aujourd'hui a d'autres domaines que la création d'objets ; on parle en effet de design, pour une panoplie d'approche qui ont a cœur de penser ce que l'on fait avant de le mettre en œuvre, a penser de façon globale nos action leur sens et leur conséquence. Design your life, design yourself; avons nous même écris, nous amène vers un "design the world" qui n'est pas sans poser question. Si cette idée aujourd'hui se décline, cela est en partie le resultat du fait que derrière la notion de design se trouve une volonté de cohérence globale, résumée en une une volonté d'evidence, une évidence, qui n'est pas sans évoquer l'idée d'un mirroir du Vivant. Si certaines approches ont fait parfois dévier le concept vers une industrialisation d'un ego créatif surdimentionné,(emmenant l'idée du design a l'inverse de son intention initiale, faite de pureté et de simplicité, faisant passer parfois même l'art décoratif individuel du créateur avant même le soucis du confort de l'ergonomie de l'agrément de celui a qui il est destiné), le design s'est pourtant par aileurs affranchi depuis longtemps de la lecture au premier degré de la définition qu'en donnait Raymond Lewi : reduire l'objet a sa fonction, l'objet ne voulait pas, dirait-on, être reduit a sa fonction, il s'est bien défendu.
Objet inanimés avez vous donc une âme ? C'est toute la question, une question d'équilibre, une question d'équilibre et de respect. Respect du créateur pour lui même et sa créativité, respect de l'objet de ceux qui le concoivent, ceux qui le fabrique, respect pour la matière première et les conséquences de sa transformation et de son utilisation sur les êtres vivants qui en sont impactés, respect de l'imaginaire de celui qui en aura l'usage, respect de l'usage lui même,etc… A l'image du vivant il n'y a pas une seul chemin vers la grâce et l'élégance, il n'y a pas une seul chemin vers Compostel, il n'y a pas un seul chemin pour réduire l'objet a sa fonction, et monsieur Loewi, dans cette phrase que l'on pourrait qualifier de perverse s'il nous parlait d'une personne, de cette volonté d'épure a engendrée de façon réactionnelle, une mise au monde, l'arroseur s'est arrosé lui même, et des contraintes qu'il avait fixé est né une question Le design est avant tout une question. De cette question est née une symphonie de réponse. Un questionnement fondamental qui rassemble. Comme le jardinier, les designers sont tous passionnés, certains sont passionnels. Tous recherchent l'alchimie, la transformation de la boue en or, la nature de cet or sera le signe de l'intégrité des créateurs et de la qualité de leur démarche. Cet or peut être la fortune ou la sagesse, la vie avec son cortège de bienfaits, ou la toute puissance d'un succès individuel sans limite. Le questionnement s'est enrichi, le monde a changé et le design change, tout autant qu'il peut changer le monde. De fait quel est la fonction de l'objet On constate aujourdhui un mouvement lucide, dont les racines sont anciennes. Un mouvement qui cherche a se liberer des emprises sociales et marchandes. Emprise sur l'imaginaire indivuduel tout autant que collectif. Ces emprises ne sont pas nouvelles, leur ampleur l'est. Le culte voué aux biens matériel n'est pas dénoncé d'hier, que ce soit Marx, ou Perec, ou bien d'autres. Le mouvement qui nous amène aujourdhui a nous passer de tout sauf de l'essentiel, est pourtant davantage un mouvement de libération de l'esprit face un déir de l'emprise des marchands et des systeme, un délire consumériste, ou l'accumaltion tente de remplacer le vide spirituel, et ou les objets quelles que soient leur qualité sont noyés dans la quantités, et plutot en génral abimés dans leur véritable valeur par des marques qui mentent structurellement poussées par un marketing qui ne sais que dire ce que les gens ont envi d'entendre et prennent la place des divinités d'antan.
La démarche d’Apple dans les années 2000, est celle adoptée dans les années 60 par des fabricants de télévision, de machines a laver et bien d'autre encore. L'entreprise Manufrance s'est lancée dans cette aventure, avec la machine a coudre Omnia M12. Elle était la continuation d'un précédant produit ou le contenant et le contenu faisaient corps. Mon père William Camus avait collaboré a ce projet en tant que jeune designer, issu de la première promotion de design industriel de l'école de la Cambre a Bruxelles. J'ai retrouvé ces deux machines dans la famille de ma compagne et associée de tisse-tout. Madame Françoise piot. L’une appartenant a sa sœur, l'autre a sa maman. Ce dans la ville de Cholet. Et ma fille Nina Camus, a eu le plaisir de se voir raccommoder ses habits sur une machine a coudre, conçue par son grand père 60 ans plus tôt. C'est donc avec plaisir, que je diffuse ces photos émouvantes, qui témoignent des liens qui parfois unissent dans le temps et l'espace, les humains et les choses, de façon mystérieuse et bouleversantes, et font mentir Georges Perec.. Deux machines l'une fonctionnant 60 après sa fabrication, l'autre, 75 ans après sa fabrication, des idées et des objet qui perdurent. Il fut un temps, ou en France l'on avait le désir de produire des objets qui durent cent ans et des idées qui en durent mille. Paradoxalement, penser en trois dimension, dans la société d’aujourd’hui nous remettre a fonder des objets et des idées en trois dimension. Des idées en trois dimension dans un monde ou les images, les mots et la représentation ont pris le pouvoir et ou l'obsolescence est l'amie de l'immanence et de la superficialité. A force de détournement et de mensonge l'image qui hier portait en elle une magie, mystère de ce qu'elle ne disait pas l'image tout autant que les mots et les représentation souffrent de surabondance de détournement du mensonge, de l'a spéculation, qui mettent en évidence la limite de la représentation. Nous souffrons de cette pensée en deux dimension a laquelle l'âme a été volée, et qui plus elle s’accroît plus elle aplatie Nos cerveaux sont bâtis pour penser en trois dimension, nos histoires personnelles, sont des temples ou des églises aux multiples piliers que nous bâtissons, dans des représentation qui sont loin d"être plates, et que l'on nous contraint a réduire. Alors, nous assistons, depuis quelques temps à une sois-disant épure, qui se nomme dématérialisation, et qui ne cache, qu'une épuration, et une emprise au numérique qui nous enferme dans dans un grand nuage noir spéculatif. Nous avons la chance de vivre sur terre, . Créons ! Certains objets ont une âme…
Oui. Il y a une tradition en design qui fait du design un instrument de réforme sociale. Lawrence Lessig, juriste américain milite en ce sens. Il est président de creative commons, ferveur défenseur de la création, des droits d'auteur à l'heure du numérique. Cela l'a aussi amené à étudier et dénoncer la corruption politique dans les démocraties ... comme c'est bizarre.
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi, 
EUPV, tisse-tout, 
contribuer à mettre en oeuvre pour les autres, oeuvrer pour soi même et tenter de faire modele. Deux intention deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, ecouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire
tisse-tout voyage
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Design pour la vie
• tisse-tout design est le fruit, d'une histoire familliale et personnelle. Il y a 60 ans les premiers designers, ceux des années 1960 a 1980, ont eu a repenser les objets décoratifs et techniques. Si cette aventure est loin d'être terminée, avant même qu'elle ne le soit, de nouveaux enjeux, a l'opposé de ceux d'hier la relance. Des entreprises comme apple ont mis 20 ans a faire ce que d'autres avant-gardistes avaient fait 40 ans plus tôt. Il a fallu en effet attendre les années 2000 pour voir apparaître les premiers Imac ; 20 ans après le premier mac. Les gros bonbons roses, oranges; ou vert, tout s'est enchainé, très vite chez la firme a la pomme tant l'évidence de l'harmonie esthétique et technique était le reflet de la perfection, de la créativité, de l'intelligence dans la conception. Cette idée d'harmonie, née d'une conception profondément réfléchie et ressentie se décline aujourd'hui a d'autres domaines que la création d'objets ; on parle en effet de design, pour une panoplie d'approche qui ont a cœur de penser ce que l'on fait avant de le mettre en œuvre, a penser de façon globale nos action leur sens et leur conséquence. Design your life, design yourself; avons nous même écris, nous amène vers un "design the world" qui n'est pas sans poser question. Si cette idée aujourd'hui se décline, cela est en partie le resultat du fait que derrière la notion de design se trouve une volonté de cohérence globale, résumée en une une volonté d'evidence, une évidence, qui n'est pas sans évoquer l'idée d'un mirroir du Vivant. Si certaines approches ont fait parfois dévier le concept vers une industrialisation d'un ego créatif surdimentionné,(emmenant l'idée du design a l'inverse de son intention initiale, faite de pureté et de simplicité, faisant passer parfois même l'art décoratif individuel du créateur avant même le soucis du confort de l'ergonomie de l'agrément de celui a qui il est destiné), le design s'est pourtant par aileurs affranchi depuis longtemps de la lecture au premier degré de la définition qu'en donnait Raymond Lewi : reduire l'objet a sa fonction, l'objet ne voulait pas, dirait-on, être reduit a sa fonction, il s'est bien défendu.
Objet inanimés avez vous donc une âme ? C'est toute la question, une question d'équilibre, une question d'équilibre et de respect. Respect du créateur pour lui même et sa créativité, respect de l'objet de ceux qui le concoivent, ceux qui le fabrique, respect pour la matière première et les conséquences de sa transformation et de son utilisation sur les êtres vivants qui en sont impactés, respect de l'imaginaire de celui qui en aura l'usage, respect de l'usage lui même,etc… A l'image du vivant il n'y a pas une seul chemin vers la grâce et l'élégance, il n'y a pas une seul chemin vers Compostel, il n'y a pas un seul chemin pour réduire l'objet a sa fonction, et monsieur Loewi, dans cette phrase que l'on pourrait qualifier de perverse s'il nous parlait d'une personne, de cette volonté d'épure a engendrée de façon réactionnelle, une mise au monde, l'arroseur s'est arrosé lui même, et des contraintes qu'il avait fixé est né une question Le design est avant tout une question. De cette question est née une symphonie de réponse. Un questionnement fondamental qui rassemble. Comme le jardinier, les designers sont tous passionnés, certains sont passionnels. Tous recherchent l'alchimie, la transformation de la boue en or, la nature de cet or sera le signe de l'intégrité des créateurs et de la qualité de leur démarche. Cet or peut être la fortune ou la sagesse, la vie avec son cortège de bienfaits, ou la toute puissance d'un succès individuel sans limite. Le questionnement s'est enrichi, le monde a changé et le design change, tout autant qu'il peut changer le monde. De fait quel est la fonction de l'objet On constate aujourdhui un mouvement lucide, dont les racines sont anciennes. Un mouvement qui cherche a se liberer des emprises sociales et marchandes. Emprise sur l'imaginaire indivuduel tout autant que collectif. Ces emprises ne sont pas nouvelles, leur ampleur l'est. Le culte voué aux biens matériel n'est pas dénoncé d'hier, que ce soit Marx, ou Perec, ou bien d'autres. Le mouvement qui nous amène aujourdhui a nous passer de tout sauf de l'essentiel, est pourtant davantage un mouvement de libération de l'esprit face un déir de l'emprise des marchands et des systeme, un délire consumériste, ou l'accumaltion tente de remplacer le vide spirituel, et ou les objets quelles que soient leur qualité sont noyés dans la quantités, et plutot en génral abimés dans leur véritable valeur par des marques qui mentent structurellement poussées par un marketing qui ne sais que dire ce que les gens ont envi d'entendre et prennent la place des divinités d'antan.
La démarche d’Apple dans les années 2000, est celle adoptée dans les années 60 par des fabricants de télévision, de machines a laver et bien d'autre encore. L'entreprise Manufrance s'est lancée dans cette aventure, avec la machine a coudre Omnia M12. Elle était la continuation d'un précédant produit ou le contenant et le contenu faisaient corps. Mon père William Camus avait collaboré a ce projet en tant que jeune designer, issu de la première promotion de design industriel de l'école de la Cambre a Bruxelles. J'ai retrouvé ces deux machines dans la famille de ma compagne et associée de tisse-tout. Madame Françoise piot. L’une appartenant a sa sœur, l'autre a sa maman. Ce dans la ville de Cholet. Et ma fille Nina Camus, a eu le plaisir de se voir raccommoder ses habits sur une machine a coudre, conçue par son grand père 60 ans plus tôt. C'est donc avec plaisir, que je diffuse ces photos émouvantes, qui témoignent des liens qui parfois unissent dans le temps et l'espace, les humains et les choses, de façon mystérieuse et bouleversantes, et font mentir Georges Perec.. Deux machines l'une fonctionnant 60 après sa fabrication, l'autre, 75 ans après sa fabrication, des idées et des objet qui perdurent. Il fut un temps, ou en France l'on avait le désir de produire des objets qui durent cent ans et des idées qui en durent mille. Paradoxalement, penser en trois dimension, dans la société d’aujourd’hui nous remettre a fonder des objets et des idées en trois dimension. Des idées en trois dimension dans un monde ou les images, les mots et la représentation ont pris le pouvoir et ou l'obsolescence est l'amie de l'immanence et de la superficialité. A force de détournement et de mensonge l'image qui hier portait en elle une magie, mystère de ce qu'elle ne disait pas l'image tout autant que les mots et les représentation souffrent de surabondance de détournement du mensonge, de l'a spéculation, qui mettent en évidence la limite de la représentation. Nous souffrons de cette pensée en deux dimension a laquelle l'âme a été volée, et qui plus elle s’accroît plus elle aplatie Nos cerveaux sont bâtis pour penser en trois dimension, nos histoires personnelles, sont des temples ou des églises aux multiples piliers que nous bâtissons, dans des représentation qui sont loin d"être plates, et que l'on nous contraint a réduire. Alors, nous assistons, depuis quelques temps à une sois-disant épure, qui se nomme dématérialisation, et qui ne cache, qu'une épuration, et une emprise au numérique qui nous enferme dans dans un grand nuage noir spéculatif. Nous avons la chance de vivre sur terre, . Créons ! Certains objets ont une âme…
Oui. Il y a une tradition en design qui fait du design un instrument de réforme sociale. Lawrence Lessig, juriste américain milite en ce sens. Il est président de creative commons, ferveur défenseur de la création, des droits d'auteur à l'heure du numérique. Cela l'a aussi amené à étudier et dénoncer la corruption politique dans les démocraties ... comme c'est bizarre.
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi, 
EUPV, tisse-tout, 
contribuer à mettre en oeuvre pour les autres, oeuvrer pour soi même et tenter de faire modele. Deux intention deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, ecouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire
tisse-tout voyage
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Design pour la vie
• tisse-tout design est le fruit, d'une histoire familliale et personnelle. Il y a 60 ans les premiers designers, ceux des années 1960 a 1980, ont eu a repenser les objets décoratifs et techniques. Si cette aventure est loin d'être terminée, avant même qu'elle ne le soit, de nouveaux enjeux, a l'opposé de ceux d'hier la relance. Des entreprises comme apple ont mis 20 ans a faire ce que d'autres avant-gardistes avaient fait 40 ans plus tôt. Il a fallu en effet attendre les années 2000 pour voir apparaître les premiers Imac ; 20 ans après le premier mac. Les gros bonbons roses, oranges; ou vert, tout s'est enchainé, très vite chez la firme a la pomme tant l'évidence de l'harmonie esthétique et technique était le reflet de la perfection, de la créativité, de l'intelligence dans la conception. Cette idée d'harmonie, née d'une conception profondément réfléchie et ressentie se décline aujourd'hui a d'autres domaines que la création d'objets ; on parle en effet de design, pour une panoplie d'approche qui ont a cœur de penser ce que l'on fait avant de le mettre en œuvre, a penser de façon globale nos action leur sens et leur conséquence. Design your life, design yourself; avons nous même écris, nous amène vers un "design the world" qui n'est pas sans poser question. Si cette idée aujourd'hui se décline, cela est en partie le resultat du fait que derrière la notion de design se trouve une volonté de cohérence globale, résumée en une une volonté d'evidence, une évidence, qui n'est pas sans évoquer l'idée d'un mirroir du Vivant. Si certaines approches ont fait parfois dévier le concept vers une industrialisation d'un ego créatif surdimentionné,(emmenant l'idée du design a l'inverse de son intention initiale, faite de pureté et de simplicité, faisant passer parfois même l'art décoratif individuel du créateur avant même le soucis du confort de l'ergonomie de l'agrément de celui a qui il est destiné), le design s'est pourtant par aileurs affranchi depuis longtemps de la lecture au premier degré de la définition qu'en donnait Raymond Lewi : reduire l'objet a sa fonction, l'objet ne voulait pas, dirait-on, être reduit a sa fonction, il s'est bien défendu.
Objet inanimés avez vous donc une âme ? C'est toute la question, une question d'équilibre, une question d'équilibre et de respect. Respect du créateur pour lui même et sa créativité, respect de l'objet de ceux qui le concoivent, ceux qui le fabrique, respect pour la matière première et les conséquences de sa transformation et de son utilisation sur les êtres vivants qui en sont impactés, respect de l'imaginaire de celui qui en aura l'usage, respect de l'usage lui même,etc… A l'image du vivant il n'y a pas une seul chemin vers la grâce et l'élégance, il n'y a pas une seul chemin vers Compostel, il n'y a pas un seul chemin pour réduire l'objet a sa fonction, et monsieur Loewi, dans cette phrase que l'on pourrait qualifier de perverse s'il nous parlait d'une personne, de cette volonté d'épure a engendrée de façon réactionnelle, une mise au monde, l'arroseur s'est arrosé lui même, et des contraintes qu'il avait fixé est né une question Le design est avant tout une question. De cette question est née une symphonie de réponse. Un questionnement fondamental qui rassemble. Comme le jardinier, les designers sont tous passionnés, certains sont passionnels. Tous recherchent l'alchimie, la transformation de la boue en or, la nature de cet or sera le signe de l'intégrité des créateurs et de la qualité de leur démarche. Cet or peut être la fortune ou la sagesse, la vie avec son cortège de bienfaits, ou la toute puissance d'un succès individuel sans limite. Le questionnement s'est enrichi, le monde a changé et le design change, tout autant qu'il peut changer le monde. De fait quel est la fonction de l'objet On constate aujourdhui un mouvement lucide, dont les racines sont anciennes. Un mouvement qui cherche a se liberer des emprises sociales et marchandes. Emprise sur l'imaginaire indivuduel tout autant que collectif. Ces emprises ne sont pas nouvelles, leur ampleur l'est. Le culte voué aux biens matériel n'est pas dénoncé d'hier, que ce soit Marx, ou Perec, ou bien d'autres. Le mouvement qui nous amène aujourdhui a nous passer de tout sauf de l'essentiel, est pourtant davantage un mouvement de libération de l'esprit face un déir de l'emprise des marchands et des systeme, un délire consumériste, ou l'accumaltion tente de remplacer le vide spirituel, et ou les objets quelles que soient leur qualité sont noyés dans la quantités, et plutot en génral abimés dans leur véritable valeur par des marques qui mentent structurellement poussées par un marketing qui ne sais que dire ce que les gens ont envi d'entendre et prennent la place des divinités d'antan.
La démarche d’Apple dans les années 2000, est celle adoptée dans les années 60 par des fabricants de télévision, de machines a laver et bien d'autre encore. L'entreprise Manufrance s'est lancée dans cette aventure, avec la machine a coudre Omnia M12. Elle était la continuation d'un précédant produit ou le contenant et le contenu faisaient corps. Mon père William Camus avait collaboré a ce projet en tant que jeune designer, issu de la première promotion de design industriel de l'école de la Cambre a Bruxelles. J'ai retrouvé ces deux machines dans la famille de ma compagne et associée de tisse-tout. Madame Françoise piot. L’une appartenant a sa sœur, l'autre a sa maman. Ce dans la ville de Cholet. Et ma fille Nina Camus, a eu le plaisir de se voir raccommoder ses habits sur une machine a coudre, conçue par son grand père 60 ans plus tôt. C'est donc avec plaisir, que je diffuse ces photos émouvantes, qui témoignent des liens qui parfois unissent dans le temps et l'espace, les humains et les choses, de façon mystérieuse et bouleversantes, et font mentir Georges Perec.. Deux machines l'une fonctionnant 60 après sa fabrication, l'autre, 75 ans après sa fabrication, des idées et des objet qui perdurent. Il fut un temps, ou en France l'on avait le désir de produire des objets qui durent cent ans et des idées qui en durent mille. Paradoxalement, penser en trois dimension, dans la société d’aujourd’hui nous remettre a fonder des objets et des idées en trois dimension. Des idées en trois dimension dans un monde ou les images, les mots et la représentation ont pris le pouvoir et ou l'obsolescence est l'amie de l'immanence et de la superficialité. A force de détournement et de mensonge l'image qui hier portait en elle une magie, mystère de ce qu'elle ne disait pas l'image tout autant que les mots et les représentation souffrent de surabondance de détournement du mensonge, de l'a spéculation, qui mettent en évidence la limite de la représentation. Nous souffrons de cette pensée en deux dimension a laquelle l'âme a été volée, et qui plus elle s’accroît plus elle aplatie Nos cerveaux sont bâtis pour penser en trois dimension, nos histoires personnelles, sont des temples ou des églises aux multiples piliers que nous bâtissons, dans des représentation qui sont loin d"être plates, et que l'on nous contraint a réduire. Alors, nous assistons, depuis quelques temps à une sois-disant épure, qui se nomme dématérialisation, et qui ne cache, qu'une épuration, et une emprise au numérique qui nous enferme dans dans un grand nuage noir spéculatif. Nous avons la chance de vivre sur terre, . Créons ! Certains objets ont une âme…
Oui. Il y a une tradition en design qui fait du design un instrument de réforme sociale. Lawrence Lessig, juriste américain milite en ce sens. Il est président de creative commons, ferveur défenseur de la création, des droits d'auteur à l'heure du numérique. Cela l'a aussi amené à étudier et dénoncer la corruption politique dans les démocraties ... comme c'est bizarre.
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
et contribuent a son développement.

l'association Harmundi, 
EUPV, tisse-tout, 
contribuer à mettre en oeuvre pour les autres, oeuvrer pour soi même et tenter de faire modele. Deux intention deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, ecouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire
tisse-tout voyage
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Design pour la vie
• tisse-tout design est le fruit, d'une histoire familliale et personnelle. Il y a 60 ans les premiers designers, ceux des années 1960 a 1980, ont eu a repenser les objets décoratifs et techniques. Si cette aventure est loin d'être terminée, avant même qu'elle ne le soit, de nouveaux enjeux, a l'opposé de ceux d'hier la relance. Des entreprises comme apple ont mis 20 ans a faire ce que d'autres avant-gardistes avaient fait 40 ans plus tôt. Il a fallu en effet attendre les années 2000 pour voir apparaître les premiers Imac ; 20 ans après le premier mac. Les gros bonbons roses, oranges; ou vert, tout s'est enchainé, très vite chez la firme a la pomme tant l'évidence de l'harmonie esthétique et technique était le reflet de la perfection, de la créativité, de l'intelligence dans la conception. Cette idée d'harmonie, née d'une conception profondément réfléchie et ressentie se décline aujourd'hui a d'autres domaines que la création d'objets ; on parle en effet de design, pour une panoplie d'approche qui ont a cœur de penser ce que l'on fait avant de le mettre en œuvre, a penser de façon globale nos action leur sens et leur conséquence. Design your life, design yourself; avons nous même écris, nous amène vers un "design the world" qui n'est pas sans poser question. Si cette idée aujourd'hui se décline, cela est en partie le resultat du fait que derrière la notion de design se trouve une volonté de cohérence globale, résumée en une une volonté d'evidence, une évidence, qui n'est pas sans évoquer l'idée d'un mirroir du Vivant. Si certaines approches ont fait parfois dévier le concept vers une industrialisation d'un ego créatif surdimentionné,(emmenant l'idée du design a l'inverse de son intention initiale, faite de pureté et de simplicité, faisant passer parfois même l'art décoratif individuel du créateur avant même le soucis du confort de l'ergonomie de l'agrément de celui a qui il est destiné), le design s'est pourtant par aileurs affranchi depuis longtemps de la lecture au premier degré de la définition qu'en donnait Raymond Lewi : reduire l'objet a sa fonction, l'objet ne voulait pas, dirait-on, être reduit a sa fonction, il s'est bien défendu.
Objet inanimés avez vous donc une âme ? C'est toute la question, une question d'équilibre, une question d'équilibre et de respect. Respect du créateur pour lui même et sa créativité, respect de l'objet de ceux qui le concoivent, ceux qui le fabrique, respect pour la matière première et les conséquences de sa transformation et de son utilisation sur les êtres vivants qui en sont impactés, respect de l'imaginaire de celui qui en aura l'usage, respect de l'usage lui même,etc… A l'image du vivant il n'y a pas une seul chemin vers la grâce et l'élégance, il n'y a pas une seul chemin vers Compostel, il n'y a pas un seul chemin pour réduire l'objet a sa fonction, et monsieur Loewi, dans cette phrase que l'on pourrait qualifier de perverse s'il nous parlait d'une personne, de cette volonté d'épure a engendrée de façon réactionnelle, une mise au monde, l'arroseur s'est arrosé lui même, et des contraintes qu'il avait fixé est né une question Le design est avant tout une question. De cette question est née une symphonie de réponse. Un questionnement fondamental qui rassemble. Comme le jardinier, les designers sont tous passionnés, certains sont passionnels. Tous recherchent l'alchimie, la transformation de la boue en or, la nature de cet or sera le signe de l'intégrité des créateurs et de la qualité de leur démarche. Cet or peut être la fortune ou la sagesse, la vie avec son cortège de bienfaits, ou la toute puissance d'un succès individuel sans limite. Le questionnement s'est enrichi, le monde a changé et le design change, tout autant qu'il peut changer le monde. De fait quel est la fonction de l'objet On constate aujourdhui un mouvement lucide, dont les racines sont anciennes. Un mouvement qui cherche a se liberer des emprises sociales et marchandes. Emprise sur l'imaginaire indivuduel tout autant que collectif. Ces emprises ne sont pas nouvelles, leur ampleur l'est. Le culte voué aux biens matériel n'est pas dénoncé d'hier, que ce soit Marx, ou Perec, ou bien d'autres. Le mouvement qui nous amène aujourdhui a nous passer de tout sauf de l'essentiel, est pourtant davantage un mouvement de libération de l'esprit face un déir de l'emprise des marchands et des systeme, un délire consumériste, ou l'accumaltion tente de remplacer le vide spirituel, et ou les objets quelles que soient leur qualité sont noyés dans la quantités, et plutot en génral abimés dans leur véritable valeur par des marques qui mentent structurellement poussées par un marketing qui ne sais que dire ce que les gens ont envi d'entendre et prennent la place des divinités d'antan.
La démarche d’Apple dans les années 2000, est celle adoptée dans les années 60 par des fabricants de télévision, de machines a laver et bien d'autre encore. L'entreprise Manufrance s'est lancée dans cette aventure, avec la machine a coudre Omnia M12. Elle était la continuation d'un précédant produit ou le contenant et le contenu faisaient corps. Mon père William Camus avait collaboré a ce projet en tant que jeune designer, issu de la première promotion de design industriel de l'école de la Cambre a Bruxelles. J'ai retrouvé ces deux machines dans la famille de ma compagne et associée de tisse-tout. Madame Françoise piot. L’une appartenant a sa sœur, l'autre a sa maman. Ce dans la ville de Cholet. Et ma fille Nina Camus, a eu le plaisir de se voir raccommoder ses habits sur une machine a coudre, conçue par son grand père 60 ans plus tôt. C'est donc avec plaisir, que je diffuse ces photos émouvantes, qui témoignent des liens qui parfois unissent dans le temps et l'espace, les humains et les choses, de façon mystérieuse et bouleversantes, et font mentir Georges Perec.. Deux machines l'une fonctionnant 60 après sa fabrication, l'autre, 75 ans après sa fabrication, des idées et des objet qui perdurent. Il fut un temps, ou en France l'on avait le désir de produire des objets qui durent cent ans et des idées qui en durent mille. Paradoxalement, penser en trois dimension, dans la société d’aujourd’hui nous remettre a fonder des objets et des idées en trois dimension. Des idées en trois dimension dans un monde ou les images, les mots et la représentation ont pris le pouvoir et ou l'obsolescence est l'amie de l'immanence et de la superficialité. A force de détournement et de mensonge l'image qui hier portait en elle une magie, mystère de ce qu'elle ne disait pas l'image tout autant que les mots et les représentation souffrent de surabondance de détournement du mensonge, de l'a spéculation, qui mettent en évidence la limite de la représentation. Nous souffrons de cette pensée en deux dimension a laquelle l'âme a été volée, et qui plus elle s’accroît plus elle aplatie Nos cerveaux sont bâtis pour penser en trois dimension, nos histoires personnelles, sont des temples ou des églises aux multiples piliers que nous bâtissons, dans des représentation qui sont loin d"être plates, et que l'on nous contraint a réduire. Alors, nous assistons, depuis quelques temps à une sois-disant épure, qui se nomme dématérialisation, et qui ne cache, qu'une épuration, et une emprise au numérique qui nous enferme dans dans un grand nuage noir spéculatif. Nous avons la chance de vivre sur terre, . Créons ! Certains objets ont une âme…
Oui. Il y a une tradition en design qui fait du design un instrument de réforme sociale. Lawrence Lessig, juriste américain milite en ce sens. Il est président de creative commons, ferveur défenseur de la création, des droits d'auteur à l'heure du numérique. Cela l'a aussi amené à étudier et dénoncer la corruption politique dans les démocraties ... comme c'est bizarre.
• Tous les produits de TisseTout sont labellisés Harmundi, 
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contribuer à mettre en oeuvre pour les autres, oeuvrer pour soi même et tenter de faire modele. Deux intention deux engagements pour la vie, l'une pour dire raconter, contempler, regarder, ecouter, promouvoir, comprendre, imaginer, représenter, l'autre pour concevoir, bâtir, scutlter, fabriquer, construire, mettre en œuvre, céér… faire
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